Domingo, extrait de l’album « Benny’s Keys
A la radio.
« Benny’s Keys », entré dans la playlist de Jazzbox radio intenational de Jacques Thévenet.
« Benny’s Keys », entré dans la playlist d’Action Jazz de fin décembre..
« Benny’s Keys » dans l’émission Jazz Time de Daniel Jachet du 25 novembre sur Radio Albatros .
Jean-Louis Lemarchand. Les DNJ – 1er décembre.
« …Villéger et Jean-Marie avaient déjà sorti l’an dernier un très beau duo mais il faut dire qu’en quartet, le jazz dit “classique” est en sécurité entre les mains de ces deux grands artistes. Pas de revivalisme formaliste ni de réinterprétation intempestive mais simplement la musique qui coule naturellement, comme si elle était éternelle. D’ailleurs, ne l’est-elle pas ? » Philippe Vincent – Le Blog de Jazz Nicknames – 2 décembre
« BENNY’s KEYS » sur la dernière ribambelle de l’année de Culture Jazz !!!
Merci à Thierry Giard et à Culture Jazz.
Albums en Ribambelle #31 – décembre 2024
54 albums pour la dernière ribambelle de l’année 2024 ! Vous y trouverez l’inévitable disque de Noël, des rééditions remasterisées et des inédits, les incontournables « piano-trios », des grandes formations, des solos duos et trios. C’est bientôt Noël : faites provision de belles et bonnes musiques !
« …Un grain de ténor aux petits oignons qui reflètent bien l’époque où le philadelphien a sévi, la science économe du pianiste (qui l’a souvent croisé) et la rythmique souple et solide à la fois pour asseoir le tout dans une ambiance parfaitement golsonienne, faite de swing débonnaire, d’ombre et de lumière presque mélancoliques célèbrent avec justesse les thèmes du saxophoniste déjà entrés dans le great songbook depuis quelques décennies. Le quartet réalise un travail d’orfèvre à la mesure du génial et si gentil, (on adorait l’écouter raconter ses histoires de jeunesse avec Coltrane et les autres) Benny Golson. Well done ! » JAZZ’IN LYON – Yves Dorison – 23 décembre.
« … Villéger et ses compagnons, tous de haute classe, rendent hommage à treize des compositions du maître, disparu en septembre 2024. Hommage magistral et fortement recommandé ». Jean-Pierre Jackson – Classica -Février 2025 – CHOC Classica.
Ce CD nous offre plus d’une heure de belle musique, hommage fervent à une figure marquante et illustration de la continuité du jazz ».
Michel Marcheteau-JazzDixieSwing – mai 2025.
« BENNY’S KEYS »
MS032024CD, sortie d’album 29 novembre 2024.
« OUI » Culture Jazz – HIT Couleurs Jazz – CHOC Classica – 4 étoiles Jazz magazine.
André Villéger (saxophone ténor) – Alain Jean-Marie (piano) – Thomas Bramerie (contrebasse) – Antoine Paganotti (drums)
« Pour les générations successives Benny Golson fut, et demeure, un musicien très important.
L’une des constantes de l’art du compositeur est probablement une sorte de mélancolie profondément musicale. Même sur tempo moyen, Benny Golson parvient à imprégner ses compositions de cette sorte de détachement un peu désenchanté qui sied si bien à l‘Art en général, et au jazz en particulier.
C’est flagrant avec le célèbre Whisper Not, ou le non moins célèbre Along Came Betty. Et cela se confirme quand le métronome flirte avec la lenteur : l’emblématique I Remember Clifford, ou le plus secret Park Avenue Petite, conçu pour le Jazztet.
C’est plus flagrant encore avec I’m Lost, un thème de Benny Golson, inédit au disque, que le pianiste Alain Jean-Marie fait renaître, en souvenir de ses nombreuses collaborations sur scène avec ce saxophoniste américain.
Le quartette en fait son miel, et André Villéger prolonge l’hommage en signant Benny’s Changes, un thème inspiré par les enchaînements harmoniques qu’affectionnait le grand saxophoniste-compositeur.
André Villéger se tient au plus près du climat singulier des compositions de Benny Golson, où il trouve l’écho de ses propres aspirations musicales, faites de fidélité à l’idiome du jazz, et du désir ardent d’aller toujours, par le pas de côté de l’improvisation, toucher l’intime de la musique. Et Alain Jean-Marie, fidèle à son art d’aller, dans chaque thème, extraire la substantifique moelle, ira jusqu’à faire sienne la composition signée par André Villéger. Le pianiste et le saxophoniste expriment simultanément la force de leur complicité musicale et leur attachement à cette musique. Quant à Thomas Bramerie et Antoine Paganotti, ils sont en totale adéquation avec le clair-obscur qui baigne ce disque. C’est comme un cri d’amour à Benny Golson, et à ses compositions ».
Xavier Prévost